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Les églises de l'entité

Église Saint-Barthélémy à Famillleureux


L'église paroissiale a été édifiée en trois parties et à trois époques différentes.
Le choeur, daté de 1186, renferme la statue de Notre-Dame de Familleureux qui serait l'une des plus anciennes de Belgique (on l'estime antérieure à 1200).  La Vierge, coiffée d'une couronne murale et vêtue d'un étroit manteau, est assise dans une cathèdre, les mains ouvertes, et semble retenir l'Enfant Jésus assis sur son genou gauche. 
 

 


 

Depuis une apparition miraculeuse qui aurait pris place entre 1404 et 1411, Familleureux est devenu un lieu de pèlerinage où les fidèles des paroisses voisines se rendent au mois de septembre.

L'enceinte extérieure du bâtiment offre une collection inédite de vieilles croix, de colonnes tronquées et de monuments sculptés constituant une sorte de galerie d'art en plein air, en particulier du côté gauche où se situait l'ancien cimetière.


Église Sainte-Vierge et Boniface à Arquennes


Le choeur de cette église paroissiale aurait été construit vers 1425, sous le seigneur Melchior d'Arquennes.  Dans l'enceinte extérieure, à l'arrière du bâtiment, se dresse une grande croix lobée indiquant l'emplacement de l'ancien calvaire, disparu depuis une trentaine d'années.
Au-dessus du portail latéral droit, une niche en pierre abrite une statue de la Vierge Miraculeuse.

A côté de l'église, une niche encadrée de deux pierres verticales grossièrement taillées a été aménagée dans un vieux mur en moellons de pierres.  Elle renferme une statue du Sacré-Coeur.



Église Saint-Martin à Petit-Roeulx-lez-Nivelles


Cette église, classée le 13 mars 1943, a été construite au 16ème siècle avec des pierres provenant des carrières d'Arquennes et de l'ancien château fort qui s'élevait dans la campagne environnante.

Ce lieu de culte a subi, comme tant d'autres, de nombreuses transformations.  Il s'ouvre par une porte intérieure en chêne massif, avec clous et ferrures.  Le pavement est constitué de grandes dalles en pierres bleues.

Les confessionnaux sont finement sculptés et la chaire de vérité date de 1658; son fronton, avec un médaillon en bois sculpté, représente un personnage mitré portant un cor de chasse (saint Hubert ?) 
 
 

 

 
De chaque côté du choeur les petits autels, également en bois travaillé, sont dédiés à saint Christophe et à Notre Dame de Lourdes.  Les plafonds voûtés sont marquetés de lamelles de bois.

Le long des murs intérieurs, on remarque bon nombre de pierres tombales.  Sur les portes secondaires, du XVIIème siècle, ainsi que sur les colonnes en pierre bleue (ou petit granit), on observe d'innombrables marques de tailleurs de pierres.

A l'extérieur, le cimetière abrite plusieurs tombes du XIXème siècle.



Eglise Sainte-Aldegonde à Feluy


L'église primitive a été offerte à l'abbaye de Bonne-Espérance par Robert et Hugo d'Harvengt, en 1177.  Elle a ensuite été rebâtie ou modifiée à de plusieurs reprises, notamment après avoir subi la fureur d'iconoclastes venus de Bruxelles en 1585.  A cette occasion, elle a été dotée de trois nefs. 

Devenu trop petit, le bâtiment a été agrandi en 1722. Du bâtiment antérieur, seule subsiste la tour-lanterne dont on peut admirer le joli plafond voûté en pénétrant dans l'édifice.   

L'autel Sainte-Aldegonde a été érigé en 1589, celui de la Vierge en 1635.  Récemment, la commune de Seneffe a fait installer un orgue dans la nef, après restauration. 
 
 

 

 


Eglise Saints-Cyr-et-Julitte à Seneffe


A l'origine, l'église de Seneffe dépendait de l'évêché de Cambrai, mais en 1125 elle passa sous la juridiction de l'abbaye de Bonne-Espérance.  En 1750, les bâtiments étaient en fort mauvais état, mais l'église ne fut démolie qu'au 19ème siècle pour laisser place au bâtiment actuel. La découverte d'ossements prouve qu'un cimetière entourait autrefois l'édifice.

L'église que l'on peut voir aujourd'hui, un imposant édifice néo-roman en briques et calcaire, a été construite à partir de 1875 sur des plans de l'architecte J. Bruyenne, et ouverte au culte le jour de Noël 1877.

En 1940, elle a été durement touchée par des obus allemands.  La même année, une violente tempête a abattu la flèche, haute de 35 mètres, qui est tombée sur la nef centrale, détruisant la charpente, les voûtes et une partie du mobilier. Enfin, deux cloches ont été enlevées par l'autorité allemande en août 1943.  Ces destructions ont justifié une importante reconstruction après la fin de la guerre.   
 
 

 

 


 
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